Alors que le Liban s’enfonce jour après jour dans une crise économique aiguë, et que le mandat du président Michel Aoun prend fin le 31 octobre, les députés ont entamé, le 29 septembre, le processus visant à élire son successeur. Vu les divisions qui règnent au sein du Parlement, il faut s’attendre à ce que le bras de fer politique autour de ce poste réservé aux chrétiens maronites s’éternise. Lors de la dernière présidentielle, le pays du cèdre était resté sans président pendant 29 mois.
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